Le 26/08/2013, par zoom61, Responsable OpenOffice & LibreOffice
32 participants
LibreOffice ou OpenOffice : Quelle sera, selon vous, la meilleure suite bureautique libre en 2013 ? Avec l'arrivée d'Apache OpenOffice 4.0 et de LibreOffice 4.1
Les suites bureautiques se sont imposées et sont devenues indispensables dans notre quotidien. La suite « numéro un » reste Microsoft Office, à tel point que nous ne disons pas présentation ou slide, mais généralement un « PowerPoint ».
Mais des alternatives sont apparues, il y a eu dans un premier temps StarOffice, puis OpenOffice.org. Et suite au rachat de Sun par Oracle, cette dernière a donné naissance à deux suites Apache OpenOffice et LibreOffice.
Depuis les versions 4 sont apparues avec chacune des nouveautés, la dernière en date est l'introduction de la Sidebar par Apache OpenOffice, quant à LibreOffice, la suite a réussi à s'imposer sur la majorité des distributions Linux.
Nous voudrions savoir quelle est votre suite préférée. Afin, de mieux répondre à la question, nous vous demandons d'accorder un peu de votre temps en justifiant votre choix. Voici une liste non exhaustive de questions qui vont vous permettre de le justifier.
Quelle suite avez-vous choisi ?
Et pourquoi ce choix ?
Avez-vous mis à jour votre suite ?
Pensez-vous qu'Apache OpenOffice soit différente de LibreOffice ? Et en quoi ?
Les deux suites pourront-elles survivre ?
Où en avez-vous le plus l'utilité à la maison et/ou au travail ?
Cette liste n'est pas complète, si vous trouvez d'autres critères qui vous semblent intéressant dit-le nous !
Bon vote à tous.
Qu’on les aime ou qu’on les déteste, les suites bureautiques se sont imposées ces derniers lustres comme indispensables dans le paysage logiciel. La suite numéro un, Microsoft Office, est devenue une référence et un incontournable. En langage courant, on ne parle plus de présentations ou de transparents, on dit tout simplement « un PowerPoint ».
Microsoft Office n’étant pas disponible sur les systèmes libres comme Linux, il est évident qu’une alternative viable se devait d’exister. Vous la connaissez certainement, il s’agit d’OpenOffice. Et, depuis quelques mois, on entend parler de LibreOffice. Mais n’est-ce pas juste un changement de nom ? Tout cela est un peu confus.
J’avais déjà tenté de faire une courte clarification. Essayons de voir en détail ce qu’il en est.
Les débuts de StarDivision
Nous sommes en 1984. Un très jeune programmeur allemand fonde la société StarDivision afin de vendre son logiciel de traitement de texte StarWriter. Celui-ci est destiné principalement aux ordinateurs Zilog Z80 et Amstrad CPC. Nous sommes dans les tous débuts de l’informatique à destination du grand public. Ni Microsoft Office ni même Windows n’existent encore.
Après quelque temps, StarDivision adapte son logiciel aux systèmes DOS, OS/2. D’autres composants se rajoutent à StarWriter : StarBase, un logiciel de base de données, StarDraw, un logiciel de dessin vectoriel. Le tout est empaqueté sous le nom global de StarOffice, en faisant une des premières suites bureautiques.
Avec le support de Windows 3.1, StarOffice gagne un nouveau composant, StarCalc, un tableur.
StarOffice dans le giron de Sun
Faisons un bond en avant et propulsons nous en 1999. À cette époque, Microsoft règne sans partage sur les ordinateurs individuels grâce à Windows 95 et Windows 98, sans oublier Windows NT dans les entreprises. Dans ces dernières, Microsoft Office 97 s’est imposé comme la suite office indispensable. Son plus gros concurrent est… Microsoft Works ! Eh oui, Microsoft se paie le luxe d’être son propre concurrent et d’avoir deux suites bureautiques qui sont difficilement interopérables (utilisant des formats propriétaires différents).
Sun travaille sur son système d’exploitation Solaris et espère en faire un concurrent à Windows. Le problème est que Solaris ne dispose pas d’une suite bureautique et que chacun des 42.000 employés de Sun doit garder deux ordinateurs : un sous Solaris et un sous Windows pour faire tourner Microsoft Office.
Stratégiquement, avoir une suite bureautique sous Solaris est indispensable. Sun se met en chasse et rachète StarDivision pour 73.5 millions de dollars. Rien que le prix économisé dans les licences Microsoft (42.000 licences Windows + 42.000 licences Office) permettrait de rentabiliser l’achat en quelques années.
Sun travaille donc à partir de la suite StarOffice et la porte sous Solaris.
Naissance d’OpenOffice
À peine un an plus tard, en 2000, Sun se rend compte que le seul ennemi capable d’affaiblir la toute-puissance de Microsoft, alors à son apogée, est le monde Open Source. Et selon l’adage « Les ennemis de mes ennemis sont mes amis », Sun décide de doter la communauté OpenSource d’un concurrent à Microsoft Office.
Une version Open Source de StarOffice est donc libérée sous le nom OpenOffice, qui deviendra OpenOffice.org, le nom OpenOffice étant déjà déposé dans certains pays.
Derrière ce mouvement se cache bien entendu une stratégie marketing. Sun espère qu’OpenOffice gagnera le cœur des étudiants, des particuliers, des hackers mais que les entreprises souhaitant un support professionnel se tournent vers StarOffice. Certaines fonctionnalités de StarOffice ne sont d’ailleurs pas présente dans OpenOffice.
Cela a pour conséquence que toute personne souhaitant contribuer au code d’OpenOffice doit céder ses droits à Sun, afin que celui-ci puisse le réutiliser dans StarOffice.
Sun OpenOffice, l’incontournable
De 2001 à 2010, OpenOffice va devenir incontournable chez les libristes et les utilisateurs de système Linux. Sa gratuité est également un atout indéniable dans les entreprises et les services publics. Certains évangélistes du libre y voient un cheval de Troie pour introduire le libre un peu partout et en font une promotion éhontée.
Cependant, tout n’est pas rose. Le développement n’est pas très rapide. Les contributions ne sont pas toujours acceptées par Sun. Le logiciel, vieillissant, acquiert une réputation de lenteur et de non-ergonomie.
Microsoft Office, de son côté, fait des progrès fulgurants avec les éditions 2003 et 2007. Malgré un succès d’estime, OpenOffice peine à sortir du cadre des geeks barbus.
Lotus Symphony, IBM rentre dans la danse
IBM, géant de l’informatique, est célèbre pour n’avoir jamais compris l’importance du logiciel et de la micro-informatique. Inventeur du PC, ils n’ont pas perçu le marché pour ce type de machine et ont laissé Microsoft fournir le système d’exploitation DOS. Se rendant compte de leur erreur, ils tenteront d’imposer OS/2 sans jamais y parvenir.
La même histoire se répète avec les suites bureautiques. Se rendant compte de l’importance de ce type de logiciel, IBM produira Lotus Symphony, une suite bureautique pour DOS. Cette suite sera complètement abandonnée en 1992.
Ce n’est qu’en 2007, à la mode des carabiniers d’Offenbach, qu’IBM décidera de relancer dans une suite de productivité qui comportera son client mail Lotus Notes, très populaire en entreprise et détenteur du titre de logiciel le plus haï par ses utilisateurs. IBM va donc reprendre OpenOffice et en modifier l’interface afin de créer IBM Lotus Symphony.
IBM Lotus Symphony est synchronisé avec OpenOffice mais aucun code n’est contribué au projet. En ce sens, IBM est vu comme un mauvais joueur par la communauté.
Oracle Open Office, la fin d’une époque
Sun ne va pas très bien. Solaris n’a jamais réellement percé. Le matériel Sun, d’excellente facture mais extrêmement cher, voit une concurrence rude tirer les prix vers le bas. Beaucoup d’investissements ont été faits comme le rachat de MySQL. Des questions se posent. C’est alors qu’arrive Oracle.
Oracle est un géant de l’informatique qui a fait sa fortune sur la gestion des bases de données. Ils aimeraient avoir un peu plus d’expertises dans le matériel (afin de vendre des serveurs liés à leurs bases de données) et contrôler un dangereux concurrent OpenSource qui est de plus en plus populaire : MySQL, justement racheté par Sun.
En 2009, Oracle rachète donc Sun pour 7,4 milliards de dollars. Seulement, Oracle n’a que faire de StarOffice ou d’OpenOffice. C’est le cadeau bonus venu avec l’achat et ça les ennuie plus qu’autre chose. De plus, contrairement à Sun, Oracle a montré de nombreuses fois qu’il se poste en ennemi acharné du logiciel libre.
En 2010, inquiets, les membres de la communauté OpenOffice créent donc la Document Foundation, une fondation sans but lucratif dont le but est de promouvoir et de continuer le développement d’OpenOffice, sans dépendre d’Oracle.
LibreOffice, la première suite communautaire
Il ne reste qu’un petit détail à régler : le nom, OpenOffice, appartient toujours à Oracle. La fondation fait une demande officielle à Oracle, Ô Oracle, vous qui êtes si puissant, si beau, si fort et qui n’avez que faire de ce misérable nom, cédez le nous et vous serez mille fois béni.
C’est à ce moment que les requins de chez Oracle lèvent les sourcils. Si ce nom est demandé, il a peut-être une certaine valeur. IBM met son grain de sel : si Oracle cède le nom à la fondation, IBM peut très bien ne plus pouvoir intégrer le code d’OpenOffice dans son Lotus Symphony qui est propriétaire, la Document Foundation soutenant des licences cancérigènes comme la LGPL !
Oracle refuse donc de céder le nom. La mort dans l’âme, la Document Foundation décide d’accepter la mort d’OpenOffice et de faire renaître le projet sous le nom LibreOffice.
Au final, ce changement de nom se révèle bénéfique. Comme le passage de XFree86 à X.org, il marque la transition. L’engouement communautaire est tel qu’en moins d’une année LibreOffice gagne des dizaines de contributeurs, un nombre impressionnant de lignes de code est changé et une première conférence rassemblant la communauté à lieu à Paris en octobre 2011. Conférence au cours de laquelle il est annoncé notamment le désir de porter LibreOffice sur Androïd. Les participants assistent également à une première démonstration de LibreOffice Online, une version web de la suite bureautique.
Apache Open Office, papy fait de la résistance
Mais il serait faux de penser qu’Oracle en resterait là. Tout aurait pu être tellement simple. Mais il ne faut jamais sous-estimer la nuisance qu’une confusion dans l’esprit du public peut apporter.
Peu après l’annonce de la création de LibreOffice, Oracle décide de donner le projet OpenOffice, y compris le nom, à la fondation Apache. À charge pour elle de continuer le développement de ce projet.
À la Document Foundation, tout le monde est un peu surpris. Surtout que la licence Apache choisie permet à LibreOffice de reprendre du code de chez Apache OpenOffice mais le contraire n’est lui pas possible. En juillet 2011, IBM annonce sa volonté de contribuer au projet Apache OpenOffice et, début 2012, annonce même arrêter complètement IBM Lotus Symphony pour se concentrer uniquement sur Apache OpenOffice.
OpenOffice ou LibreOffice, lequel choisir ?
Pour beaucoup, Apache OpenOffice n’est donc qu’un homme de paille, un projet IBM, qui sert les intérêts d’IBM et non ceux de la communauté. Après quelques mois, il faut se rendre à l’évidence: le projet Apache OpenOffice dispose de dix fois moins de contributeurs. Comparer le nombre de modifications du code entre les deux projets est également sans appel : LibreOffice est un projet libre, communautaire et OpenOffice est une anecdote poussée à contre-cœur.
La majorité des distributions Linux sont d’ailleurs passées à LibreOffice. Des grands projets se mettent en place: la région Île-de-France travaille à offrir un LibreOffice intégré avec sa solution Cloud à tous ses étudiants. Un écosystème de sociétés a rejoint la Document Foundation afin d’offrir du support professionnel sur LibreOffice, depuis les grands pontes comme Suse, partie de Novell, au petites structures comme Lanedo, employeur de votre serviteur.
Si l’offre est là, la demande est elle en pleine confusion. Des clients de Sun, payant pour le support d’OpenOffice, se sont retrouvés sans maintenance du jour au lendemain. Le changement de nom fait craindre une migration lente et coûteuse, beaucoup ne comprenant pas qu’il s’agit essentiellement du même logiciel.
Si l’avenir de LibreOffice semble radieux, beaucoup ne le saisissent pas encore. Mais, maintenant, si jamais on vous pose la question de savoir la différence entre OpenOffice et LibreOffice, vous pourrez répondre : « Assieds-toi, je vais te raconter une histoire… ».
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Les assistants Agenda et Web sont passés de Java à Python, réduisant par la même occasion leur taille. Plus généralement de nombreuses modifications ont porté sur le cœur du logiciel dont une bonne partie sont détaillées dans une précédente dépêche.
Le moteur textuel sous Mac OS X a été porté vers Core Text, ce qui permet d'améliorer le rendu, et de prendre en charge les polices OTF complexes.
OpenOffice
PyUNO est maintenant compatible avec Python 3, mais Python 2 reste le choix par défaut pour éviter de casser certaines applications.
Les développeurs voient arriver une nouvelle plateforme de tests basée sur JUNIT.
Interface graphique
Dans ce domaine, on commence à apercevoir l'effet de l'intégration d'IBM Symphony au sein d'Apache OpenOffice, mais cela se répercute sur LibreOffice également.
En effet, ces deux suites intègrent maintenant les images de la galerie d'IBM Symphony. Mais l'ajout le plus attendu est celui de la barre latérale de la suite au sein d'OpenOffice et de LibreOffice (de façon expérimentale pour cette dernière).
De ce côté là, OpenOffice a intégré beaucoup de choses de Symphony, alors que LibreOffice s'est limité à la barre latérale contextuelle. Tout ceci devrait changer pour la prochaine version dans quelques mois.
OpenOffice prend également en charge l'anti-crénelage dans beaucoup plus d'endroits (comme dans l'aperçu avant impression), et la transparence est maintenant gérée partout. En outre, le glisser-déposer est maintenant bien pris en charge, et sans perte de qualité entre une autre application et AOO.
Enfin, LibreOffice fignole la barre de recherche, pour la rendre activable et désactivable avec un Ctrl-F, et en y ajoutant quelques options pour finalement la faire ressembler à celle de Firefox.
Modules
Writer, le traitement de texte
LibreOffice (LO)
LibreOffice Writer vous permet maintenant de tourner vos images par quart de tour.
Il devient également possible d'utiliser des dégradés de couleurs dans les cadres de textes.
La barre latérale de commentaires est maintenant facilement repliable grâce à un bouton judicieusement placé.
Il était déjà possible d'intégrer les polices du document en utilisant le format d'archivage PDF/AW, et il est dorénavant possible de le faire pour un fichier de type OpenDocument et docx (via les propriétés du document). Ceci est également le cas avec tous les autres modules.
Apache OpenOffice (AOO)
OpenOffice Writer propose de nouveaux dégradés.
Calc, le tableur
LibreOffice
La précédente version peaufinait l'affichage des mots au sein d'un document dans le module Writer et Impress, et c'est maintenant au tour de Calc d'offrir un aperçu rapide du nombre de cellules sélectionnées dans la barre d'état.
Un nouveau type de graphique fait son apparition?: les échelons, ou plus communément dits « en escalier ».
Enfin, pour améliorer la prise en charge du standard ODF, deux nouvelles fonctions ont été créées : NUMBERVALUE et SKEWP.
Un nombre certain de fonctions sont maintenant mieux prises en charge à l'importation et à l'exportation de document Microsoft Excel 2013.
OpenOffice
Des nouvelles fonctions sont au menu : AVERAGESIFS, COUNTIFS, SUMIFS, XOR, LEFTB, RIGHTB, LENB, MIDB. Enfin, la fonction RAND a été ré-écrite.
Impress, les diaporamas
LibreOffice
Peu de choses dans cette version, si ce n'est un nouvel assistant pour créer facilement un diaporama à partir d'une liste d'images, et la présence d'un bouton permettant de désactiver le Presenter Console intégré (pour faciliter l'intégration d'OpenLP).
Base
LibreOffice
Il devient possible de limiter le nombre de résultats retournés par une requête grâce à une liste déroulante.
Cette propriété est également accessible dans le panneau des préférences des requêtes, ainsi que l'option de n'afficher que les valeurs distinctes.
Math
LibreOffice
Le principal changement est la possibilité d'ancrer de nouvelles fenêtres lors de l'éditions de formules mathématiques.
Filtres d’importation et d’exportation
LibreOffice
Gros changement à l’horizon, puisque la bibliothèque libmwaw a été intégrée à la suite bureautique. En pratique, cela signifie que les documents provenant de l’une des anciennes versions suivantes sont maintenant gérés avec brio :
Microsoft Word version 5.1 pour Mac?;
Write Now 4.0?;
Mac Write Pro 1.5?;
Apple Works 6.0.
Il devient maintenant possible d’insérer les fichiers multimédias aux formats suivants : WMA, WMV, AAC, FLV, OGX, MIDI et SND.
Enfin, on notera que les liens hypertextes sont maintenant correctement exportés au sein d’un SVG, et que l’importation et l’exportation aux formats OOXML (Microsoft) et RTF ont été améliorées.
OpenOffice
Une nette amélioration est visible à l’importation de document Microsoft Word 2003, des fichiers PowerPoint, des fichiers Excel et des fichiers OOXML.
Les Bitmap sont exportés de manière plus propre, et les fichiers SVG sont beaucoup plus agréables à utiliser.
AOO, tout comme LO l'a fait pour la précédente version, laisse tomber la prise en charge des documents StarOffice (.sdw, .sdc, .sdd, etc.).
Autres
LibreOffice
La prise en charge des architectures PowerPC des Mac a maintenant été laissé de côté.
Un petit mot sur les statistiques : pour cette version, ce sont plus de 10 000 changements qui ont été effectués, dont 450 proviennent d'adresses de courriel en apache.org. Enfin, on estime à 3 000 le nombre de bogues corrigés, dont 400 d'apache.org.
OpenOffice
Près de 500 bogues ont été corrigés pour cette version.
Conclusion
Les deux suites sont toujours actives, bien qu'à des niveaux différents.
Rappelons que l'entraide est possible, et elle se voit ici. Néanmoins, il ne faut pas oublier que la licence de LO est la LGPLv3, et que le nouveau code d'AOO, sous licence Apache 2.0, est parfaitement intégrable à LO. Mais, le contraire n'est vrai que si ce code importé n'est pas modifié (puisqu'il devrait alors l'être sous licence LGPLv3), ce qui limite beaucoup plus les emprunts fait à LO par AOO.
Jusqu'à la prochaine sortie de ces deux suites, on leur souhaite bon courage !
Améliorations apportées par la nouvelle version de Libre Office
Nouveautés et correctifs de la version 4.0
Revoir les nouveautés des versions précédentes : 3.3, 3.4, 3.5, 3.6 NB : cliquer sur les images pour les afficher en grand
Changez l'apparence de votre suite bureautique selon votre goût. Utilisez lespersonas pour personnaliser encore plus LibreOffice ! Cliquez ici pour les détails.
Avoir un compte exact des mots de votre document est important pour vous ? LibreOffice 4.0 vous permet decompléter la liste des délimiteurs de mots en tenant compte des spécificités du français.
Nouvelle amélioration de l'interopérabilité : vous pouvez désormais attacher un commentaire à un bloc de texte. Voir ici.
Vous avez des documents MS-VISIO ou MS-Publisher ? Vous pouvez les importer dans LibreOffice 4.0 ! Cliquer ici pour d'autres exemples.
(Pour plus d'information pourquoi nous avons décidé de passer directement de la version 3.6 à la version 4.0, veuillez lire TDF en 2012)
(Hint: click on images to enlarge)
Writer
Possibilité d’attacher des commentaires à des plages de texte.fdo#38244 (Miklós Vajna)
Gestion de délimiteurs de mot supplémentaires. Cette fonction remplace le tiret cadratin (—) et le tiret demi-cadratin (–) comme caractères de délimitation pour le comptage des mots et permet à l’utilisateur de spécifier des caractères additionnels (via Outils ?Options ? Writer ? Général ? Statistiques). (Caolán McNamara)
Import des annotations manuscrites des documents DOCX et RTF (disponibles avec Word sur un Tablet PC). (Eilidh McAdam)
Le filtre d'import RTF gère désormais la syntaxe des anciens objets dessin (fdo#42407). Voir cette entrée de blog (en anglais) pour plus de détails et voir des copies d'écran (Miklós Vajna).
Diverses améliorations de la gestion des DOCX : import des tables flottantes, objets OLE à l'intérieur de rectangles, marges des images en ligne utilisant le WordProcessing markup (Miklós Vajna). Voir cette entrée de blog (en anglais) pour davantage de détails et des copies d'écran. (Miklós Vajna).
Cliquer sur un champ le sélectionne au lieu de positionner le curseur devant (Cédric Bosdonnat).
"LibreLogo" langage de programmation de graphisme vectoriel. Barre d'outils et interpréteur Logo (László Németh, aide pour l'intégration : András Tímár).
La mise en œuvre légère (1400 lignes en Python-PyUNO) utilise le Python intégré pour donner une interface de programmation simplifiée pour les excellents graphiques vectoriels de LibreOffice, pour la conception graphique et l'enseignement (y compris l'enseignement du traitement de texte). Articles de blog :
Exemples : afficher la barre d'outils Logo (Affichage » Barre d'outils » Logo) dans Writer. Utiliser les icônes flèche pour déplacer et sélectionner la "tortue" (curseur graphique du langage de programmation Logo). Essayer les commandes suivantes dans la ligne de commande de la barre d'outils ; pour lancer l'exécution du programme dans la ligne de commande, appuyer sur Entrée (la commande localisée dépend de la langue du document, appuyer sur F1 dans ligne de commande pour plus d'information) :
circle 10cm
fillcolor 'blue' pencolor 'red' pensize 2 circle 5cm
forward 200 right 89 circle 5
repeat 88 [ forward 200 right 89 ] fill
repeat 9 [ label 'Hello, World!' right 20 ]
repeat 100 [ penup position any pendown pensize random 10 fillcolor any square 20 + random 100 ]
Amélioration des performances à l'ouverture des documents ODS (Daniel Bankston).
A l'ouverture des fichiers ODS et XLSX, les valeurs des formules peuvent être affichées telles qu'elles étaient lors de l'enregistrement, sans recalculer les formules à l'ouverture du fichier (Daniel Bankston).
Ceci accélère l'ouverture des (gros) fichiers ;
Quand le classeur a été utilisé en dernier par quelqu'un d'autre, ceci affichera toujours les valeurs, comme elles étaient sur cet ordinateur. (il est connu que des grands classeurs complexes sur différents ordinateurs, avec des systèmes d'exploitation, des processeurs ou logiciels différents, peuvent donner des résultats différents). Cela peut donc être un avantage que d'ouvrir avec les valeurs éditées dans Excel.
L'utilisateur reçoit un message à l'ouverture. Ce message peut être (dés)activé par Outils ? Options ? LibreOffice ? Calc ? Formules ?Recalcul au chargement du fichier.
Mise en cache des valeurs lors de l'ouverture ou l'import des ODS et XLSX (Daniel Bankston)
Selon les différentes implémentations possibles, un avertissement est affiché lorsque le cache est utilisé.
Enregistrement des paramètres du dialogue lors de l'import de texte, la commande Texte en colonnes et le collage depuis le presse-papiers cf. fdo#47674 (Laurent Balland-Poirier).
Export des échelles de couleur et barres de données au format XLSX (les extensions Excel 2010+ pour les barres de données sont également gérées) (Markus Mohrhard).
Augmentation de la taille limite des documents ODF (non compressés) de 2 Go à 4 Go (Michael Meeks).
L'Autofiltre comprend désormais une recherche incrémentale. Il est possible de rechercher une entrée spécifique via une saisie au clavier (Kohei Yoshida).
Amélioration de la visualisation des graphiques - qualité de rendu et d'impression améliorée pour l'export PDF des graphiques (Armin Le-Grand - Apache).
Améliorations des dialogues pour le formatage conditionnel (Markus Mohrhard).
Jeux d'icônes pour les dialogues de formatage conditionnel (Markus Mohrhard).
Chevauchement des formats conditionnels (Markus Mohrhard)
Initialisation d'un travail sur un filtre d'import gnumeric basé sur orcus (respectivement orcus par Kohei Yoshida, gnumeric par Markus Mohrhard)
Ceci est une démonstration technique de l'intégration orcus accessible en activant les fonctions expérimentales
Seules les valeurs, chaînes et formules sont importées en 4.0 (davantage ultérieurement)
Export de diagramme au format image (PNG, JPG) fdo#30944
Dialogue Source XML pour importer rapidement un fichier XML quelconque. Voir cette page pour plus d'informations sur cette fonction. (Kohei Yoshida)
Moteur de formules
Nouvelle option de configuration permettant de basculer la manière de gérer les chaînes vides utilisées dans les expressions arithmétiques. fdo#44720 (Kohei Yoshida)
Nouvel Add-In Tarification (Pricing Add-in) contenant des fonctions de feuille de calcul pour les prix des options à barrière particulière (OPT_BARRIER(...)) et (OPT_TOUCH(...)). Exemple :File:Calc-pricing-add-in.ods (Tino Kluge)
Nouvelle fonction XOR telle que définie dans le format ODF OpenFormula. fdo#50882 (Winfried Donkers)
Ré-implémentation de la fonction ALEA() avec un meilleur algorithme de génération de nombres aléatoires. fdo#33365 (Tino Kluge)
Nouvelles fonctions tableur : AVERAGEIF, SUMIFS, AVERAGEIFS et COUNTIFS telles que définies dans ODF OpenFormula. fdo#41214(Marina Plakalovic, Daniel Rentz, Eike Rathke)
Nouvelles fonctions tableur : IFERROR et IFNA telles que définies dans ODF OpenFormula. fdo#56124 (Winfried Donkers, Eike Rathke)
Table de pilote
Gestion de sélections multiples pour filtrer dans le champ page des tables de pilote. (Kohei Yoshida)
Impress
Il existe désormais une télécommande Impress pour téléphone Android. Même si celle-ci est spécifique aux versions fournies par les distributions Linux, nous espérons la rendre disponible pour les versions Linux génériques, MacOS et MS-Windows lors de prochaines mises à jours de la branche 4.0 (Andrzej Hunt)
Accélération sensible de l'aperçu multimédia, et des aperçus de vidéos incorporées sur Linux. (Michael Meeks)
L'extension Presenter Screen tient compte désormais des langues RTL (right to left - droite à gauche). fdo#42070 (Issa Alkurtass, Abdulmajeed Ahmed, Faisal Al-Otaibi - KACST):
L'état du volet diapo est désormais mémorisé. (Rob Snelders)
Draw
Amélioration de la qualité de l'aperçu des pages dans Draw/Impress avec le suréchantillonnage (supersampling). (Toma? Vajngerl)
Transvection (NdT : pas sûr de la traduction de Shear transforms) pour les objets graphiques, et transvection + propriétés pour les objets OLE (Armin Le-Grand - Apache)
Gestion Multi-images dans l'ODF permettant par exemple une représentation bitmap + SVG (Armin Le-Grand - Apache)
Barre d'outils Cercles et ellipses d'Impress désormais également disponible dans Draw (Rob Snelders)
Amélioration des terminaisons de ligne - ajout de plat, rond, carré, cf. clic droit Ligne ? Styles d'angles et de terminaisons (Regina Henschel, Armin Le-Grand - Apache).
Base
Sur toutes les plateformes non Windows un nouveau pilote mork est implémenté pour accéder au carnet d'adresses Thunderbird. Ceci signifie que les utilisateurs Debian/Ubuntu peuvent désormais intégrer leur carnet d'adresses Thunderbird. Ceci résout des bugs anciens pour différentes distributions (David Ostrovsky). (Les distributions Debian/Ubuntu ne fournissent pas le pilote mozilla mork, raison pour laquelle leur package ne peut accéder au carnet d'adresses). Pour plus d'informations, voir :
Dans les formulaires, l'Autofiltre ne traite plus les valeurs comme des motifs. En conséquence un Autofiltre sur "A*" ne retournera plus les valeurs commençant par A, mais seulement celles correspondant exactement à la valeur "A*". fdo#48807 (Lionel Elie Mamane)
Changements transversaux
Intégration d'un Installateur de session permettant d'ajouter à la volée des éléments manquants à LibreOffice (Björn Michaelsen)
LibreOffice 4.0 est livré avec quatre nouvelles familles de polices open-source : Open Sans (Ascender), PT Serif (ParaType),Source Code Pro et Source Sans Pro (Adobe).
Intégration du protocole CMIS pour un accès facile aux documents enregistrés dans un Content Management Systems (CMS) tel que Alfresco, Nuxeo, SharePoint... (Cédric Bosdonnat). Démonstration en vidéo (mais en anglais) sur Toutube : CMIS integration of LibreOffice 4.0 with Nuxeo.
Réduction de la part de code Java : portage des Assistants Fax et Lettre en Python (Xisco Faulí).
Options / Général
Nouveau moteur d'expression régulière (Herbert Duerr - Apache)
Nous utilisons maintenant le moteur d'expression régulière ICU au lieu d'une version personnalisée. Cela résout plusieurs bugs dans la fonction "rechercher et remplacer", et est plus rapide et moins gourmand. Le code assure la compatibilité de la nouvelle version en mappant l'ancienne syntaxe limite de mot\> et \< à \b.
Les utilisateurs japonais doivent être conscients que certaines translittérations plus avancées peuvent se comporter différemment.
Java et les options avancées sont désormais regroupés dans Outils ? Options ? LibreOffice ? Avancé. Ceci inclut l'activation des fonctions expérimentales et l'enregistrement des macros (Joel Madero).
Filters
Nouveau filtre d'import des documents Microsoft Publisher. Plus de détails dans cette page de blog.
Extension de la couverture du format de fichier Visio. LibreOffice 4.0.0 gère tous les formats de fichier Visio depuis la version Visio 1.0de 1992 à Visio 2013 sorti en 2012. Plus de détails dans ce blog.
Amélioration de la compatibilité ODF sur différents points (Michael Stahl).
Les images peuvent être redimensionnées et compressées avec le nouveau menu contextuel Compresser Images.. (Toma? Vajngerl).
commande disponible dans Draw, Impress et Calc mais pas (encore) dans Writer.
affichage des informations courantes : dimensions initiales, dimensions dans le document.
Possibilité de réduire la résolution de l'image en paramétrant une nouvelle dimension (largeur/hauteur en pixels et PPI).
Compression sans perte (PNG) ou avec perte (JPEG) avec possibilité de paramétrer la qualité et le niveau de compression.
Possibilité de sélectionner l'algorithme d'interpolation (ré-échantillonage).
Amélioration de la qualité de l'affichage des images. (Toma? Vajngerl)
Possibilité de sélectionner et copier du texte depuis les boîtes de message. fdo#46193(Tamas Zolnai)
La liste déroulante Appliquer le style de la barre d'outils Formatage montre désormais un aperçu des styles. (Jan Holesovsky)
Intégration dans Unity (Antonio Fernandez, Björn Michaelsen, Alberto Ruiz, Ryan Lortie, Ted Gould)
Afficher / Masquer les styles dans le dialogue Styles & Formatage (Cédric Bosdonnat)
Gestion de Personas Firefox dans LibreOffice. Avec LibreOffice 4.0, vous pouvez choisir Outils ? Options ? LibreOffice ? Personnalisation ? Sélectionner Persona, choisir une Persona que vous aimez dans votre navigateur, coller son adresse dans le dialogue, confirmer, et LibreOffice l'utilisera (Jan Holesovsky)
Nouveau gestionnaire de modèles (Rafael Dominguez et Cédric Bosdonnat)
L'interface de gestion des modèlespermet désormais d'avoir des modèles non-natifs : les modèles d'autres suites bureautiques sont gérés comme les modèles ODF
Introduction d'une nouvelle technique “Widget layout” pour les boîtes de dialogue, et conversion de plusieurs dialogues cf.WidgetLayout (Caolán McNamara, Jack Leigh, Gokul).
Des maquettes d'interface utilisateur peuvent être créées avec le concepteur d'interface Glade puis ensuite accrochées au code.
Des Widgets convertis peuvent être modifiés sans recompiler LibreOffice. Plus facile à parcourir pour une bonne conception de l'interface.
Gestion plus facile pour redimensionner et cacher des éléments. Réduit la complexité du code.
Intention de suivre les lignes directrices des meilleures pratiques en matière d'espacement et de retrait pour aérer les dialogues et les rendre plus clairs.
Ajout d'un dialogue Lissage au filtre graphique, permettant de sélectionner le rayon (la force) du lissage / floutage. (Toma? Vajngerl)
Ajout de Éditer avec un outil externe à Calc, Impress et Draw. (Toma? Vajngerl)
Harmonisation des options de menu contextuel Enregistrer les images... de Writer et Enregistrer comme image... de Draw et Impress enEnregistrer les images.... (Toma? Vajngerl)
Localisation / traduction
idxexample.odt « localisable » via des fichiers .po (Insertion → Index et tables → Index et tables...) (Istvan Turi).
Modèles agenda/fax/lettre/rapport « localisables » via des fichiers .po (Fichier → Assistants) (Istvan Turi).
Amélioration de la correction automatique pt-BR (Raimundo Moura, Olivier Hallot).
Le vérificateur de grammaire pour le portugais brésilien (pt-BR), basé sur le logiciel libre LightProof, est désormais disponible. Améliorations de la vérification orthographique dans la langue pt-BR (Raimundo Moura, João Mac-Cormick, Olivier Hallot, László Németh).
Traduction des noms des touches pour Windows pour l'Asturien (Xuacu Saturio), le catalan (Jesús Corrius), l'estonien (Mihkel Tõnnov), le slovène (Martin Srebotnjak) et l'espagnol (Adolfo Jayme Barrientos). Traduction des noms des touches sur Linux pour le slovène (Martin Srebotnjak).
Mise à jour du thésaurus slovène (Martin Srebotnjak/tezaver.si).
Performance
Temps de chargement des fichiers ODS amélioré : cf. cette entrée de blog pour davantage de détails (Daniel Bankston).
Temps de chargement des fichiers XLSX amélioré : cf. cette entrée de blog pour davantage de détails (Daniel Bankston).
Performances significativement améliorées lors de l'enregistrement d'une grande table d'auto-correction (cf. fdo#49350) (Toma? Vajngerl).
Accélération sensible des temps de chargement et enregistrement pour les diapos & dessins contenant un grand nombre de formes (Michael Meeks).
Amélioration sensible du temps de chargement des fichiers RTF (cf. fdo#44736). (Miklós Vajna, Michael Meeks)
Infrastructure
https://gerrit.libreoffice.org/ utilisé pour la revue de code et la soumission de patchs -- près de 1500 patchs déjà revus et intégrés en utilisant gerrit (David Ostrovsky, Norbert Thiebaud, Robert Einsle, Björn Michaelsen and many more
Nombreux modules porté sur gbuild. (Peter Foley, Matúš Kukan, Caolán McNamara, David Ostrovsky, David Tardon, Norbert Thiebaud and others)
Toutes les anciennes classes de container (Sv*Array*, Table, Container, List etc.) remplacées par des containers STL (Noel Grandin, Michael Stahl, etc.)
Le module de traductions est devenu un module source seule, les outils de l10n lisent les traductions directement à partir de fichiers .po (Tamas Zolnai).
Ajout de la gestion GStreamer 1.0, et re-factorisation du code gstreamer existant (Tim-Philipp Müller, Michael Meeks).
Extensions
Import PDF, Presenter screen et le Python Scripting Provider ne sont plus des extensions bundled mais des fonctionnalités à part entière (Stephan Bergmann).
Fonctionnalités supprimées / obsolètes
Suppression de binfilter : suppression de la possibilité d'importer les anciens formats hérités de StarOffice versions 1.x à 5.x. Note : les anciens formats de fichier XML OpenOffice.org XML (.sxw, .sxi, etc.) qui étaient utilisés comme formats par défaut par StarOffice versions 6 et 7 et OpenOffice.org version 1, sont toujours supportés.
Suppression de la possibilité d'enregistrer un document dans un ancien format MS-Word et MS-Excel, version 6.0/95, afin d'empêcher la sélection accidentelle de très anciens formats de fichiers et la perte de données que cela peut entrainer. Ces fichiers peuvent toujours être ouverts mais ils doivent être enregistrés dans un autre format après modification. LibreOffice continue de permettre d'enregistrer des fichiers dans les formats MS-Office 97 et suivants.
Suppression de la gestion de l'intégration pour les documents ODMA ; cette intégration spécifique à MS-Windows est un lointain héritage qui entraine des interactions utilisateurs terribles.
Suppression de l'ancienne bibliothèque STLport pour compatibilité avec d'anciennes extensions (n'était incluse que pour 32-bit Linux et Windows).
Abandon de la plateforme Mac / PPC, notre version minimale de MacOS passe à 10.6.
Abandon du support de MS-Windows 2000.
Changements dans l'API
C++ UNO Language Binding et bibliothèques URE
Le compilateur MS-Windows C++ compiler mis à niveau à Visual Studio 2010 (Fridrich Strba, Tor Lillqvist)
runtime libraries pour Visual Studio 2008 (msvcr90.dll) ne sont plus intégrées
rtl/memory.h est déclaré obsolète et sera supprimé dans une version ultérieure.
Python
Le support intégré du langage Python a été porté de Python 2.6 à Python 3.3 (Michael Stahl)
Les extensions en Python et les macros peuvent avoir besoin d'être adaptées pour fonctionner avec la dernière version de Python ; voir par exemple Porting to Python 3.
LibreOffice ou OpenOffice : Quelle sera, selon vous, la meilleure suite bureautique libre en 2013 ?
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